Je ne comprends pas.
Nous avions un joli journal, mais il est mort,
Quatre fois par ans il paraissait sans faire de tort,
Mieux que des grands il rassemblait il était bien,
Par lui nous apprenions l’histoire du village,
A mieux connaître ses habitants, ses citoyens,
Des portraits des potins, et dans son sillage
S’inscrivait une vue de notre commune,
Ce qui nous liaient et ce n’est pas pour des prunes
Que tous nous étions très fiers de notre cité.
Mais tapi dans l’ombre le malheur est arrivé.
Alors se fut la fin de notre gazette.
Mais c’était mal connaître nos quatre rédactrices,
Ce fût comme le chalet là-haut sur la montagne,
Elles reconstruisent plus beau qu’avant cet édifice.
Félicitations à cette équipe qui gagne,
Qu’elles continuent à nous apporter des nouvelles,
Car grâce à elles notre gazette se renouvelle.
H.F. Meylan
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